The Daytona Ref. 116520 sits at a fascinating crossroads in Rolex history. When it was unveiled at Baselworld in 2000, it looked almost identical to its predecessor, the Zenith-powered 16520. Same stainless steel case, same crisp dial layout, same engraved tachymeter bezel. But under the hood, something big had changed — Rolex had finally introduced its own in-house chronograph movement: the caliber 4130.

For collectors, this was more than just an upgrade. It meant Rolex had complete control over one of the most demanding complications in watchmaking. The 4130 was leaner, with fewer components than its rivals, which translated to reliability and ease of servicing — two things Rolex never compromises on. It also offered a longer power reserve and a sturdier balance bridge, reinforcing the brand’s reputation for tool-watch toughness.

On the wrist, the 116520 balances flash and understatement. The polished steel bezel catches the light just enough to remind you it’s a Daytona, but it never shouts. The black dial has a moody, stealthy charm that wears equally well with jeans or a blazer.

What makes the 116520 special is that it bridges two eras: it carries the vintage charm of the Zenith era but opens the door to Rolex’s modern mastery. For many enthusiasts, it’s the last Daytona that feels “classic” before the era of ceramic bezels and bigger changes. It’s a watch that doesn’t just keep time — it keeps history on your wrist.

Our piece has been delivered in Belgium Country Code 130 in March 2009.

Comes with original box and certificate

1 YEAR full warranty

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La Daytona Réf. 116520 occupe une place singulière dans l’histoire de Rolex. Lors de sa présentation à Baselworld en 2000, elle semblait presque inchangée par rapport à la génération précédente, animée par un mouvement Zenith. Même boîtier en acier, même cadran équilibré, même lunette tachymétrique gravée. Mais sous le capot, une révolution s’opérait : Rolex présentait enfin son propre mouvement chronographe, le calibre 4130.

Pour les passionnés, ce n’était pas un simple changement technique. Cela signifiait que la marque maîtrisait désormais de A à Z l’une des complications les plus exigeantes de l’horlogerie. Plus épuré, avec moins de composants que la concurrence, le 4130 offrait une fiabilité et une facilité d’entretien exemplaires. Sa réserve de marche rallongée et son pont de balancier renforcé ajoutaient encore à cette impression de solidité inébranlable.

Au poignet, la 116520 joue la carte de l’équilibre entre discrétion et éclat. La lunette polie capte subtilement la lumière, affirmant son identité sans arrogance. Le cadran noir dégage une élégance sombre, plus mystérieuse — capable de s’accorder aussi bien à un jean's qu’à une veste de costume.

Ce qui rend la 116520 unique, c’est son rôle de passerelle entre deux époques : elle conserve le charme vintage de l’ère Zenith tout en annonçant la maîtrise moderne de Rolex. Pour beaucoup de collectionneurs, c’est la dernière Daytona qui garde cette aura de “classique”, avant l’avènement des lunettes en céramique et des évolutions plus radicales. C’est une montre qui ne se contente pas de mesurer le temps — elle en raconte l’histoire.

Notre pièce a été livrée neuve en Belgique Code 130, nous disposons de son écrin et de son certificat d'origine.

Garantie 1 an.