• Year of manufacture 
    2014
  • Chassis number 
    ZFF76ZHB000203343
  • Lot number 
    290
  • Condition 
    Used
  • Location
    France
  • Exterior colour 
    Other

Description

2014 Ferrari LaFerrari Coupé
Chassis no. ZFF76ZHB000203343

Ferrari LaFerrari coupé 2014
Châssis n° ZFF76ZHB000203343

« La LaFerrari est vraisemblablement l'hypercar la plus rapide et la plus fascinante au monde. Ce qui est une affirmation osée, face à des machines comme la McLaren P1 ou le Spyder Porsche 918. L'essentiel tient cependant au fait que la LaFerrari est plus puissante (pas moins de 950 ch) et a moins de poids à tirer que ses prestigieuses rivales et donc, en dehors de toute autre considération, elle est la première de la liste. Quoi qu'il en soit, la Ferrari ultime ... » – Autocar.

Aujourd'hui le souci de l'environnement est de plus en plus présent, même les constructeurs de supercars ont ressenti le besoin de peaufiner leur image écologique. À la recherche d'une meilleure efficacité énergétique et d'émissions réduites, ils ont abordé l' « hybride » dans un secteur du marché jusque-là réservé aux carburants fossiles. C'est le résultat d'une stratégie gagnant/gagnant, ces hypercars étant à la fois plus respectueuses de l'environnement et considérablement plus puissantes qu'auparavant.

La première proposition de Ferrari dans ce domaine fut la LaFerrari, un coupé en édition limitée entré en production en 2013. Dernier modèle Ferrari à moteur central 12 cylindres, la LaFerrari est le résultat de pas moins de neuf études de conception, créés au cours de sa mise au point. La voiture fut dévoilée au Salon de Genève en 2013. De façon tout à fait inhabituelle, son style ne doit rien au collaborateur de longue date de Ferrari, la Carrozzeria Pininfarina.

Évidemment, une voiture portant un nom comme « LaFerrari » ne pouvait recourir qu'à une mécanique V12, un type de moteur utilisé sur la première Ferrari de 1947 et sur toute une série de modèles parmi les plus glorieux de la marque italienne. Le V12 de la LaFerrari affiche une cylindrée de 6,3 litres et développe 789 ch, associé à un moteur électrique de 161 ch pour fournir une puissance totale de 950 ch, la plus grande puissance pour une Ferrari de route. Quand la voiture roule, la batterie lithium-ion du moteur électrique est chargée par un KERS (Kinetic Energy Recovery System), identique à celui d'une des générations récentes de Formule 1. La puissance passe aux roues arrière (il n'y a pas de transmission intégrale) via une transmission à double embrayage à sept rapports. Et si vous n'utilisez pas tous ces 950 ch en permanence, il en résulte une diminution conséquente de la consommation, même si cela à peu d'intérêt pour le client typique d'une LaFerrari.

Conçue par le directeur technique des Ferrari de Formule 1, Rory Byrne, la LaFerrari a un châssis monocoque en fibre de carbone avec une suspension avant à double triangulation et un système multibras à l'arrière tout à fait dans la veine de l'actuelle génération de supercars. Pour toute voiture atteignant plus de 320 km/h, il faut un freinage à la hauteur et la LaFerrari est équipée des freins carbone-céramique Brembo les plus efficaces. Ferrari annonce une vitesse maximale de plus de 349 km/h, comparable à celle de l'Enzo. La LaFerrari accélère de 0 à 100 km/h en moins de 2,4 secondes et atteint les 300 km/h en 15 secondes, distançant confortablement sa devancière. L'usine clamait également que la LaFerrari avait effectué un tour de son circuit d'essai de Fiorano en 1 min 19,7 s, plus rapidement qu'aucune autre Ferrari de route.

Les systèmes électroniques abondent, même dans les plus humbles citadines modernes et, comme il fallait s'y attendre, la LaFerrari est bardée de tout ce que l'on peut imaginer : contrôle électronique de stabilité, ABS/EBD (antiblocage des freins à répartition électronique) haute performance, contrôle de traction EF1-Trac F1 intégré au système de propulsion hybride, différentiel électronique E-Diff 3 et suspension à amortisseurs magnétorhéologiques, le tout contrôlé par 21 logiciels. Elle dispose également d'une aérodynamique active, les ailerons avant et arrière étant ajustables en roulant pour régler l'appui tout en régulant le refroidissement du moteur, de la boîte de vitesses, des batteries et des freins. On trouve encore plus d'électronique dans l'habitacle sous la forme d'un écran digital TFT de 12,3 pouces (310 mm) avec trois configurations au choix, permettant d'afficher toutes les données du système télémétrique. Le volant regroupe les contrôles intégrés, tandis que les palettes de transmission sont fixées directement sur la colonne de direction.

Steve Sutcliffe d'Autocar, l'un des heureux élus à avoir eu le privilège de conduire une LaFerrari, a été fortement impressionné lorsqu'il a tourné à Fiorano. « Le comportement est d'emblée doux et calme, la direction est étonnamment légère, mais renvoie de délicieuses sensations style vieille école. La pédale de frein est aussi légère sous le pied, mais donne également beaucoup de sensations. Et la réponse à l'accélérateur est tout simplement époustouflante, la voiture bondit littéralement dans la ligne droite à mi-course en quatrième. »

« C'est ce que vous obtenez quand vous ajoutez la puissance électrique à un V12. À bas régime, l'électricité procure du couple instantanément et au-dessus de 3 000 tr/min le V12 prend le relai. La transition est si douce que l'on ne s'en rend pas compte. On a juste l'impression que la voiture est animée par un V12 de 10 litres de cylindrée qui aurait en même temps un couple énorme en bas des tours. »
« À leur manière, la boîte de vitesses, les freins, la direction, la tenue de route, l'équilibre... sont tout aussi incroyables que le moteur – pardon, la source motrice – et les accélérations qu'il procure. »

Confier une voiture de 950 ch de 1 255 kg au commun des mortels, plutôt qu'à un pilote professionnel, peut être considéré comme risqué, mais en concevant la LaFerrari, ses créateurs se sont assurés que quoi que la voiture fasse, elle le fasse avec prévenance. « On sait toujours où on en est avec cette voiture » continue Autocar « et, considérant combien elle est dangereusement rapide, c'est probablement sa plus grande qualité, la maniabilité. »

Malgré leur prix de 1 million de livres, chacun des 499 exemplaires prévus avait été vendu avant que la première ne soit même livrée. Quoiqu'il en soit, même si vous aviez les poches les plus profondes qui soient, cela ne suffisait pas pour acquérir une LaFerrari qui n'était destinée qu'aux fidèles clients approuvés par Ferrari.

Représentant probablement l'unique chance d'une vie de posséder l'une de ces fabuleuses hypercars Ferrari, la LaFerrari proposée ici a été livrée neuve en Allemagne. La voiture a parcouru 930 km et se présente en excellent état général, attestant de son utilisation parcimonieuse. En 2016, la Ferrari a été repeinte en Giallo Modena (jaune Modène) tandis que son intérieur noir a été regarni en gris à rayures jaunes (y compris le volant). De nouveaux étriers Giallo Modena ont été montés et les roues ont été repeintes en gris (voir facture de 108 578 francs suisses au dossier.
La batterie et son chargeur ont été changés le 27 septembre 2019 pour un montant de 18,043.00 francs suisses. Le service des 5 ans a été effectué le 5 mai 2020 chez Ferrari Genève pour un montant de 4776,05 francs suisses (ces deux factures figurent au dossier).
La documentation fournie inclut également une copie de ses papiers d'immatriculation en Guinée Équatoriale, un certificat de conformité du constructeur et le document (1173) de la douane Suisse, valable jusqu'au 31 juillet 2022. Cette spectaculaire LaFerrari est vendue avec son chargeur, sa trousse à outils, une seconde clé et tous ses livrets originaux.

On notera que si le véhicule demeure en France, un droit d'importation de 10 pour cent (+TVA) et une TVA à l'importation de 20 pour cent seront appliqués sur le prix d'adjudication.
Les droits à l'importation dans d'autres pays européens peuvent varier et des frais administratifs seront facturés en vue de préparer les opérations de dédouanement.
Notez également qu'en cas d'acquisition par une société de la Communauté européenne, le montant de la TVA sera calculé sur la base du taux applicable dans le pays concerné. Pour toute question concernant le dédouanement, nous vous prions de consulter le Département automobile de Bonhams ou nos transporteurs agréés.

2014 Ferrari LaFerrari Coupé
Chassis no. ZFF76ZHB000203343

"The LaFerrari is very possibly the world's fastest, most exciting hypercar. Which is some statement to make when there are machines such as the McLaren P1 and Porsche 918 Spyder to contend with. The bottom line, however, is that LaFerrari has more power (a whopping 950bhp) and less weight to carry around than its prestigious rivals so figuratively, if nothing else, it quite clearly has the upper hand. Either way, this is the ultimate Ferrari..." – Autocar.

In today's increasingly environmentally conscious times, even supercar manufacturers have felt the need to polish up their 'Green' credentials. Seeking better fuel economy and reduced emissions, they have brought 'hybrid' technology to this previously exclusively fossil-fuels-only sector of the market. This has resulted in a 'win win' situation: these latest hypercars being more environmentally friendly while at the same time considerably more powerful than before.

Ferrari's first offering in this expanding category was the LaFerrari, a limited edition coupé that entered production in 2013. Ferrari's last model with a mid-mounted 12-cylinder engine, LaFerrari was the distillation of no fewer than nine design studies created during the process of its development. The car was unveiled at the 2013 Geneva Auto Show. Unusually, its styling had no input from Ferrari's long-term collaborator, Carrozzeria Pinifarina.

Clearly, a car evocatively titled 'LaFerrari' would have to have a V12 engine, a type of power unit used in the very first Ferrari of 1947 and for a glorious succession of the Italian factory's most famous models. The LaFerrari V12 displaced 6.3-litres and produced 789bhp, supplemented by an electric motor producing 161bhp for a combined output of 950 horsepower, the highest power output of any Ferrari road car. With the car is in motion, the electric motor's lithium-ion battery pack is charged by a KERS (Kinetic Energy Recovery System) as used in the current generation of Formula 1 cars. Power reaches the rear wheels (there's no four-wheel drive) via a seven-speed dual-clutch transmission. And if you didn't use those 950 horses all the time, there was also a useful decrease in fuel consumption, not that that would have interested the typical LaFerrari owner.

Designed by Ferrari's F1 technical director, Rory Byrne, the LaFerrari has a carbon fibre monocoque chassis with suspension at the front by double wishbones and at the rear by a multi-link system - pretty much the norm for the current generation of supercars. Any car with a 200mph-plus maximum needs plenty of stopping power, and the LaFerrari was equipped with Brembo's finest carbon-ceramic brakes. Ferrari claimed a top speed exceeding 349km/h (217mph), similar to the Enzo's top speed; however, the LaFerrari could accelerating from 0-100km/h (0-62mph) in under 2.4 seconds and reach 300km/h (186mph) in 15 seconds, comfortably out-performing its predecessor. The factory also claimed that LaFerrari had lapped its Fiorano test track in 1:19.7, faster than any other road-legal Ferrari.

Electronic systems abound in even the humblest of modern hatchbacks, and as one would expect, the LaFerrari boasts just about every bit of automotive electrickery imaginable: electronic stability control; high performance ABS/EBD (anti-lock braking system/electronic brake distribution), EF1-Trac F1 traction control integrated with the hybrid propulsion system; E-Diff 3 electronic differential; and magnetorheological suspension dampers - all controlled by 21 computers. There was also active aerodynamics, the front and rear wings being adjustable on the move to provide either high or low downforce while also controlling cooling of the engine, gearbox, batteries, and brakes. More electronics were deployed in the cockpit in the form of a 12.3" (310mm) TFT digital dashboard display with a choice of three optional layouts capable of relaying data from the telemetry system. The steering wheel featured integrated controls, while the gearchange paddles were fixed directly to steering column.

One of the fortunate few to have driven a LaFerrari, Autocar's Steve Sutcliffe was mightily impressed when let loose in one at Fiorano. "The ride instantly feels spookily smooth and calm, the steering surprisingly light but bursting with a delicious, old school kind of feel. The brake pedal also feels light underfoot but is again rippling with feel. And the throttle response, the first time I go anywhere near the loud pedal is just outrageous; the car explodes down the back straight even on half throttle in fourth gear.

"And that's what you get when you integrate electric power with a thumping great V12. At low revs the electricity provides the torque, and provides it instantly, and from there on up – at about 3000rpm – the V12 takes over. Yet the transformation is so smooth you are never actually aware that it takes place. Instead, it feels like the car is powered by a 10-litre V12 that somehow has massive low rev response at the same time.

"And yet, in their way, the gearchange, the brakes, the steering, the turn in, the handling balance and the ride... they are all every bit as incredible as the engine – sorry the power source – and the acceleration it can produce."

Putting a 950 horsepower car weighing only some 1,255kg dry in the hands of mere mortals, as opposed to professional racing drivers, might be considered somewhat reckless, but in designing LaFerrari, its makers ensured that whatever the car did it did predictably. "You always know where you are with this car," declared Autocar. "And considering just how insanely fast it is, that is arguably its greatest achievement; being manageable."

Despite a price of £1 million (approximately €1.4 million) each, all 499 examples planned had sold before the first had been delivered. However, merely having pockets of limitless depth was not alone sufficient for you to acquire a LaFerrari, which was only available to loyal customers vetted by Ferrari.

Representing a possibly once-in-a-lifetime opportunity to own one of these fabulous Ferrari hypercars, the LaFerrari offered here was delivered new to Germany. The car has covered only some 930 kilometres from new and is presented in generally excellent condition, reflecting its sparing use. In 2016, the Ferrari was repainted in Giallo Modena, while the black interior was re-trimmed with grey and yellow stripes (including the steering wheel). New brake callipers in Giallo Modena have been fitted and the wheels repainted in grey (see invoice of CHF108.578 on file).
Battery and charger have been changed on September 27th, 2019 for CHF18,043.00. The car has also been serviced at Ferrari Geneva on May 5th, 2020 for CHF4776.05 (both invoices are on file).

Accompanying documentation also includes a (copy) Equatorial Guinea registration document; manufacturer's Certificate of Conformity; and Swiss customs document (1173) valid until 31st July 2022. This spectacular LaFerrari comes complete with charger, tool kit, second key and all its original books.

Please note that if this vehicle remains in France, it will be subject to import duty at 10% (+VAT) and 20% Import VAT on the hammer price. Import rates to other EU Country's may vary for VAT rate and an administration fee will be charged to prepare the necessary customs clearances. Please note that if you purchase as an EU Company, the VAT amount will be calculated based on your registered countries rate. If you have any questions regarding customs clearance, please contact the Bonhams Motorcar Department or our recommended shippers.


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