2009 Ferrari 599 GTB Fiorano Coupé
Coachwork by Pininfarina
Chassis no. ZFFFD60B000170353

"The Ferrari 599 offers mind-blowing pace and handling. Quite possibly the best Ferrari of its generation. We'll spare the 911 Turbo the ignominy of comparison times, because the Ferrari has moved the game onto another level.

"There are the quick cars – those that nip below 10 seconds to 100mph, such as the Lamborghini Gallardo. Then there are the very quick cars, which post 0-100mph times beginning with an eight. But anything under eight seconds belongs to an elite group, and in gaining such membership, the Ferrari 599 has shaken the establishment like nothing in the past 20 years. Its 7.4sec average matches the time we recorded for the Pagani Zonda S. Rest to 60mph takes just 3.7sec." – Autocar.

Introduced at the Geneva Motor Show in February 2006, the 599 GTB Fiorano took its name from Ferrari's famous test track and was the latest in a succession of models named after places associated with the marque such as Modena and Maranello. Its immediate predecessor - the 575 Maranello - had met with a mixed reception, disappointing those that had so admired the 550 Maranello, so Ferrari had some catching up to do in designing the 599.

Having favoured the mid-engined layout for its 12-cylinder road cars from the mid-1970s to the late 1990s, Ferrari surprised everyone by introducing the 550 Maranello. The latter's arrival in 1997 saw the Italian manufacturer return to its tradition of building front-engined V12 two-seater sports cars, resurrecting a line that had remained dormant since the demise of the 365GTB/4 'Daytona' in 1974. The 599 was the latest in this noble line that stretched all the way back to the 250GT SWB of the early 1960s. In designing the 599, Ferrari abandoned the tubular steel chassis of the 550/575, adopting a more advanced and lighter all-aluminium chassis of greatly increased stiffness. Styled by Pininfarina under the direction of Ferrari's Frank Stephenson, the 599 with its long bonnet, small cabin, raised haunches and aggressive stance seemed the very definition of the term 'sports car'. The body's aerodynamics were developed in the wind tunnel, where hours of testing ensured that the minimum of drag was combined with constant downforce regardless of set up, an important consideration in a 200mph road car. Styling details such as the front brake ducts and hot air outlets behind the front wheelarches recalled the great competizione Ferraris of the past while the tail incorporated Ferrari's characteristic twin circular lights.

The heart of any Ferrari is its engine, and the 599's 48-valve, 6.0-litre V12 was a reworked version of that found in the Enzo supercar. As installed in the 599, this state-of-the-art unit produced a staggering 612bhp at 7,600rpm with maximum torque of 448lb/ft at 5,600 revs. Weighing a claimed 1,690kg, the 599 has a power-to-weight ratio of 362bhp per tonne, far eclipsing the 291bhp/tonne of its 575 Maranello predecessor. Developed as part of Ferrari's Formula 1 programme, the paddle shift gearbox had become a feature of its range-topping sports cars and was available in its latest form for the 599, capable of changing gear in a mere 100 milliseconds. A conventional six-speed gearbox was available also.

Although active suspension had long been banned form Formula 1, its development for road cars had continued and the 599 came equipped with SCM magnetorheological 'semi-active' dampers. The latter's damping fluid changes in viscosity almost instantaneously when a magnetic field is applied, thereby altering the suspension characteristics. Damper controls were placed on the Formula 1-style steering wheel together with those for traction control and stability, as was the starter button. The 599's fortunate driver would find him/herself looking at a central analogue rev counter flanked by a similar speedometer and an electronic display screen for all other functions. Ferrari thoughtfully provided plentiful storage space within the sumptuous leather-trimmed interior.

The fabulous and exclusive Ferrari supercar offered here has the F1-type gearbox and is finished in black with beige interior. The first owner purchased the car new at Pozzi in Levallois, while the first (and very extensive) service was carried out by Modena Cars, Geneva in August 2016 at 2,428km (current odometer reading 2,492km). Modena Cars' invoice for CHF 44,996 is on file and all books are available. The car also comes with Equatorial Guinea registration papers and technical inspection, and a detailed specification listing supplied by Ferrari.

VAT, Car Tax and Customs Duty at the standard rates will be payable on this Lot if the car remains in Switzerland.

Bonhams is the guarantor of the customs duties and taxes clearance: consequently, this motor car cannot be released to the buyer or his transporter immediately after the sale.

Ferrari 599 GTB Fiorano Coupé 2009
Carrossé par Pininfarina
Châssis n° ZFFFD60B000170353

•Supercar Ferrari très exclusive
•Vendue neuve en France
•Premier entretien effectué à 2 428 km
•2 492 km constatés
•Munie de tous ses documents

"La Ferrari 599 nous offre des performances et un comportement époustouflants. C'est probablement la meilleure Ferrari de sa génération. On épargnera à la Porsche 911 Turbo la honte d'une comparaison des chronos, car la Ferrari place la barre à un autre niveau.

Il y a les voitures rapides, qui atteignent les 160 km/h en moins de 10 secondes, comme la Lamborghini Gallardo. Puis il y a les voitures très rapides, qui y parviennent en 8 secondes et quelques. Mais toutes celles qui mettent moins de 8 secondes font partie d'une élite et, en la rejoignant, la Ferrari 599 a secoué l'establishment comme aucune autre ne l'avait fait ces vingt dernières années. Les 7,4 secondes qu'elle met en moyenne correspondent à ce que nous avons relevé sur la Pagani Zonda S et le 0 à 100 km/h ne prend que 3,7 secondes." – Autocar.

La 599 GTB Fiorano, lancée au Salon de Genève de février 2006, tire son nom de la célèbre piste d'essai de Ferrari et c'est la dernière d'une série de modèles portant le nom de lieux associés à la marque, comme Modena ou Maranello. Sa devancière immédiate, la 575 Maranello, avait rencontré un accueil mitigé, car elle avait déçu ceux qui avaient tellement apprécié la 550 Maranello, aussi Ferrari se devait-il de redresser la situation avec la 599.

Du milieu des années 1970 à la fin des années 1990, Ferrari avait privilégié pour ses 12-cylindres de route les architectures à moteur central, aussi tout le monde fut-il surpris par la 550 Maranello de 1997. Elle marquait un retour aux traditions des deux-places à V12 avant et faisait renaître une tendance tombée en désuétude depuis l'arrêt de la 365GTB/4 Daytona en 1974. La 599 était la plus récente d'une noble lignée remontant à la 250GT SWB du début des années 1960. Pour elle, Ferrari avait abandonné le châssis en tube d'acier des 550/575 et était passé à un châssis tout-aluminium, plus perfectionné, plus léger et beaucoup plus rigide. La 599, dessinée par Pininfarina sous la direction de Ferrari, en la personne de Frank Stephenson, présentait un long capot, un petit habitacle, des hanches galbées et une posture agressive qui semblaient définir le terme de "voiture de sport". Ses qualités aérodynamiques avaient été mises au point en soufflerie, et des heures avaient été consacrées à obtenir une traînée minimale conjuguée à un appui constant, indépendant des réglages, ce qui est important pour une voiture qui atteint les 320 km/h. Des détails de style tels que les prises d'air des freins avant et les sorties d'air chaud situées derrière les passages de roues avant évoquaient les grandes Ferrari de competizione du passé, et l'on retrouvait à l'arrière les groupes de deux feux circulaires caractéristiques de la marque.

Le cœur de toute Ferrari est son moteur ; le V12 de 6,0 litres à 48 soupapes de la 599 était une version retravaillée de celui de la supercar Enzo. Monté sur la 599, ce groupe à l'état de l'art développait l'impressionnante puissance de 620 chevaux à 7 600 tr/min pour un couple de 610 Nm à 5 600 tr/min. Avec ses 1 690 kg annoncés, la voiture disposait d'un rapport poids-puissance de 367 chevaux par tonne dépassant de loin les 295 chevaux par tonne de sa devancière la 575 Maranello. La boîte de vitesses à commande par palettes, développée dans le cadre des activités de Formule 1 de Ferrari, était devenue la norme pour ses voitures de sport de haut niveau et la 599 en avait reçu la dernière version, capable de changer de rapport en à peine 100 millisecondes. Une boîte conventionnelle à six rapports était également disponible.

Les suspensions actives avaient depuis longtemps été exclues de circuits de Formule 1, mais elles avaient continué à se développer pour les routières et la 599 était ainsi équipée d'amortisseurs SCM magnétorhéologiques 'semi-actifs', dont le liquide changeait de viscosité quasi-instantanément en présence d'un champ magnétique, ce qui permettait de faire varier les caractéristiques d'amortissement. La commande des amortisseurs était placée sur le volant de style Formule 1, aux côtés de celles de l'antipatinage et du contrôle de stabilité ainsi que du démarreur. L'heureux conducteur d'une 599 disposait d'un compte-tours analogique voisinant avec un tachymètre d'allure similaire et avec un écran d'affichage des autres fonctions. Ferrari avait par ailleurs eu le bon goût de prévoir de nombreux espaces de rangement dans un habitacle richement garni de cuir.

La merveilleuse et si exclusive supercar Ferrari proposée est noire avec un intérieur beige. Elle est équipée de la boîte de vitesses de type F1. Son premier propriétaire l'a achetée neuve chez Pozzi à Levallois, et son premier entretien, très complet, a été effectué à Genève par Modena Cars en août 2016 à 2 428 km. Le compteur indique actuellement 2 492 km. La facture Modena Cars pour un montant de 44 996 CHF figure au dossier, et tous les documents sont disponibles. La voiture est munie de ses documents d'immatriculation de Guinée équatoriale et de son contrôle technique, ainsi que d'une liste de caractéristiques détaillées fournie par Ferrari.

La TVA, la taxe sur les véhicules ainsi que les droits de douanes aux taux courants seront payables sur ce lot si le véhicule reste en Suisse.

Bonhams restant le garant des droits et taxes douanières, cette voiture ne pourra pas être récupérée par l'acheteur ou son transporteur immédiatement après la vente.