• Year of manufacture 
    1998
  • Chassis number 
    ZFFZR49B000114315
  • Lot number 
    2
  • Drive 
    LHD
  • Condition 
    Used
  • Number of seats 
    2
  • Location
    Switzerland
  • Exterior colour 
    Other
  • Drivetrain 
    2wd
  • Fuel type 
    Petrol

Description

1998 Ferrari 550 Maranello Coupé
Chassis no. ZFFZR49B000114315

"The Maranello needs no excuses: it is right-minded, a return to traditional values, albeit values and standards that tower high above those set by the Daytona when it shuffled off to extinction a quarter of a century ago." – Car magazine.

With the introduction of the 550 Maranello in 1997, Ferrari returned to its tradition of building front-engined V12 sports cars, resurrecting a line that had remained dormant since the demise of the 365 GTB/4 'Daytona' in 1974. The heart of any Ferrari is its engine, and the 550 Maranello's 48-valve, 5.5-litre V12 developed 485bhp at 7,000rpm, some 100-or-so horsepower more than the Daytona's. Ferrari had discovered long ago that providing optimum balance in a front-engined sports car necessitated the use of a rear transaxle, and the Maranello's came with six speeds. The power train was housed in a tubular steel chassis, to which was attached aluminium coachwork, while the all-independent suspension incorporated dual-mode (normal/sports) damping, switch-selectable by the driver, which was complemented by speed-sensitive power-assisted steering.

Styled by Pininfarina like its illustrious 'Daytona' predecessor, the 550 Maranello was similarly proportioned, adopting the classical combination of long bonnet, small cabin and truncated tail. The body's aerodynamics were developed in the wind tunnel, where hours of testing ensured that the minimum of drag was combined with constant downforce regardless of set up, an important consideration in a 200mph road car. Styling details such as the bonnet air scoop and hot air outlets behind the front wheelarches recalled the great competizione Ferraris of the past, in particular the immortal 250 GTO, while the tail incorporated Ferrari's characteristic twin circular lights.

In 2004, Evo magazine published a 'Greatest Driver's Cars' feature that pitted the 550 Maranello against the Porsche 911 GT3, Honda NSX-R and Pagani Zonda C12S. The Ferrari won. "As with all great cars, there's no one facet that dominates the experience," declared the respected British motoring journal. "Yes, the engine is mighty, but the chassis is its equal. There's never been a supercar that's so exploitable and so rounded in its capabilities."

A United States model delivered new to California, this example is finished in Rosso Corsa with cream interior and has covered only 2,406 miles from new. A detailed specification listing supplied by Ferrari is on file and the car also comes with Equatorial Guinea registration papers and customs document.

VAT, Car Tax and Customs Duty at the standard rates will be payable on this Lot if the car remains in Switzerland.

Bonhams is the guarantor of the customs duties and taxes clearance: consequently, this motor car cannot be released to the buyer or his transporter immediately after the sale.

Ferrari 550 Maranello Coupé 1998
Châssis n° ZFFZR49B000114315

•Livré neuf en Californie
•3 871 km depuis l'état neuf
•Etriers de freins rouges
•Sièges de style Daytona

"La Maranello n'a pas à faire l'objet d'excuses : elle se conforme aux valeurs traditionnelles, mais à des valeurs et des exigences très au-dessus de celles définies par la Daytona lorsqu'elle est arrivée au terme de sa vie il y a un quart de siècle." – Le magazine Car.

Le lancement en 1997 de la 550 Maranello a marqué le retour de Ferrari à l'architecture à V12 avant, traditionnelle pour ses voitures de sport. C'était la résurgence d'une construction demeurée en sommeil depuis la disparition en 1974 de la 365 GTB/4 Daytona. Le cœur de toute Ferrari est son moteur ; le V12 de 5,5 litres à 48 soupapes de la 550 Maranello développait 492 chevaux à 7 000 tr/min, soit environ 100 de plus que celui de la Daytona. Ferrari avait établi depuis longtemps que le meilleur équilibre pour une voiture de sport à moteur avant imposait d'utiliser une boîte-pont à l'arrière : celle de la Maranello était équipée de six rapports. Ce groupe motopropulseur se logeait dans un châssis tubulaire en acier auquel était fixée une carrosserie en aluminium. La suspension à quatre roues indépendantes était équipée d'amortisseurs à deux modes (normal et sport) que le conducteur pouvait sélectionner par un interrupteur. L'ensemble se complétait d'une assistance de direction asservie à la vitesse.

Tout comme son illustre devancière la Daytona, la 550 Maranello avait été dessinée par Pininfarina en respectant les mêmes proportions, la classique association d'un capot long, d'un habitacle exigu et d'un arrière tronqué. Ses qualités aérodynamiques avaient été mises au point en soufflerie, et des heures avaient été consacrées à obtenir une traînée minimale conjuguée à un appui constant, indépendant des réglages, ce qui est important pour une voiture qui atteint les 320 km/h. Des détails de style tels que l'écope sur le capot et les extracteurs d'air chaud à l'arrière des passages de roues avant faisaient partie des détails de style évoquant les grandes Ferrari de competizione du passé, en particulier l'immortelle 250 GTO, et son arrière s'ornait des groupes de deux feux circulaires caractéristiques de la marque.

En 2004, le magazine Evo publia un dossier sur les plus grandes sportives, qui opposait la 550 Maranello à la Porsche 911 GT3, la Honda NSX-R et la Pagani Zonda C12S. Ce fut la Ferrari qui gagna. "Comme pour toutes les bonnes voitures, il n'y a pas une de ses composantes qui écrase les autres," déclarait cette respectable revue automobile britannique. "Oui, le moteur est puissant, mais le châssis est du même niveau. On n'a jamais vu une supercar qui soit aussi exploitable et aussi accommodante."

Cet exemplaire est un modèle Etats-Unis qui a été livré neuf en Californie. Il est rouge Corso avec un intérieur crème ; il a parcouru 3 871 km depuis l'origine. On trouvera dans son dossier une liste de caractéristiques détaillées fournie par Ferrari. La voiture est munie de son certificat d'immatriculation de Guinée équatoriale ainsi que de ses documents douaniers.

La TVA, la taxe sur les véhicules ainsi que les droits de douanes aux taux courants seront payables sur ce lot si le véhicule reste en Suisse.

Bonhams restant le garant des droits et taxes douanières, cette voiture ne pourra pas être récupérée par l'acheteur ou son transporteur immédiatement après la vente.


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