2005 Ferrari 575 Superamerica
Coachwork by Pininfarina
Chassis no. ZFFGT61B000144227

In 2004, Ferrari released a limited run of 559 examples of a striking and innovative convertible version of the 575M: the Superamerica. The Ferrari 575M (Modificata) had represented an evolution of the acclaimed 550 Maranello rather than an entirely new model when it arrived in 2002. With the introduction of the 550 Maranello in 1997, Ferrari had returned to its tradition of building front-engined V12 sports cars, resurrecting a line that had remained dormant since the demise of the 365 GTB/4 'Daytona' in 1974. The heart of any Ferrari is its engine, and the 550 Maranello's 48-valve, 5.5-litre V12 developed 485bhp at 7,000rpm, some 100-or-so horsepower more than the Daytona's. Ferrari had discovered long ago that providing optimum balance in a front-engined sports car necessitated the use of a rear transaxle, and the Maranello's came with six speeds. The power train was housed in a tubular steel chassis, to which was attached aluminium coachwork, while the all-independent suspension incorporated dual-mode (normal/sports) damping, switch-selectable by the driver, which was complemented by speed-sensitive power-assisted steering.

Styled by Pininfarina like its illustrious 'Daytona' predecessor, the 550 Maranello was similarly proportioned, adopting the classical combination of long bonnet, small cabin and truncated tail. The body's aerodynamics were developed in the wind tunnel, where hours of testing ensured that the minimum of drag was combined with constant downforce regardless of set up, an important consideration in a 200mph road car. Styling details such as the bonnet air scoop and hot air outlets behind the front wheelarches recalled the great competizione Ferraris of the past, in particular the immortal 250GTO, while the tail incorporated Ferrari's characteristic twin circular lights. For the 575M, engine displacement grew to 5,748cc and maximum power to 515bhp, while transmitting it to the ground was a new six-speed 'paddle shift' semi-automatic gearbox, a technology that Ferrari had developed in Formula 1.

Drawing its name from the iconic Pininfarina-designed Lampredi V12-powered GT cars of the 1950s and '60s, the 320km/h Superamerica retained the 575M's 5,748cc engine, six-speed 'paddle shift' manual gearbox, and running gear together with its general design while featuring a unique pivoting photo-chromic roof. The work of Pininfarina's chief stylist Leonardo Fioravanti, creator of the legendary 365 GTB/4 'Daytona', it was the first roof of its kind ever fitted to a production car and was built using a carbon fibre frame integrated with electrochromic glass. The transparency of the glass could be adjusted from within the cabin to transmit varying amounts of light, letting in approximately the same amount of light as a conventional glass sunroof at its lightest setting and only 1% of the sun's rays at its darkest. With the press of a button, the Superamerica can be transformed into a convertible, with the roof rotating back to rest flush with the boot lid in just 10 seconds.

This well-specified Superamerica was delivered new in Switzerland via Garage Zenith in Lausanne and has had only two owners from new. The roof of the car has been completely restored in 2019. The car is offered with a copy of the original purchase agreement; Modena Cars SA's invoice for a major service carried out in December 2018 (€22,500); a subsequent bill; a Swiss Carte Grise; its Ferrari leather wallet; and all books and tools.
The Superamerica has become one of the most highly coveted Ferraris of recent times thanks to its rarity, uniquely innovative design, and the exhilarating driving experience that can only be had behind the wheel of one of these modern Ferrari V12 roadsters. An opportunity not to be missed.

Ferrari 575 Superamerica 2005
Châssis n° ZFFGT61B000144227

• Livrée neuve en Suisse
• L'une des 559 produites
• Deux propriétaires depuis l'origine
• Toit photochromatique récemment refait à neuf

Ferrari a produit en 2004 une série limitée de 559 exemplaires d'une innovante et impressionnante version cabriolet de la 575M : la Superamerica. Lors de son lancement en 2002, la Ferrari 575M (Modificata) était une évolution de la 550 Maranello à succès, davantage qu'un modèle totalement nouveau. En 1997, cette dernière avait marqué le retour de Ferrari à sa traditionnelle architecture de sportives à V12 avant, laissée en sommeil depuis l'arrêt de la 365 GTB/4 'Daytona' survenu en 1974. Le cœur de toute Ferrari est son moteur, et le V12 de 5,5 litres et 48 soupapes de la 550 Maranello délivrait 485 ch à 7 000 tr/min, soit environ 100 ch de plus que le moteur de la Daytona. Ferrari savait depuis longtemps que, pour une voiture de sport à moteur avant, le meilleur équilibre s'obtenait en implantant la boîte de vitesses à l'arrière, ce qui était le cas de la boîte à six rapports de la Maranello. Son groupe motopropulseur se logeait dans un châssis en tubes d'acier sur lequel reposait sa carrosserie en aluminium ; sa suspension à quatre roues indépendantes était dotée d'un amortissement à deux modes, normal et sport, au choix du conducteur, et elle se complétait d'une direction à assistance asservie à la vitesse.

Dessinée par Pininfarina comme son illustre devancière la Daytona, la 550 Maranello jouissait de proportions comparables, la classique alliance d'un capot long, d'un habitacle court et d'un arrière tronqué. Son aérodynamique avait été développée en soufflerie, où des heures et des heures d'essai avaient permis de concilier une traînée minimale et un effort de placage au sol constant, ce qui est important pour une voiture atteignant les 320 km/h. Des détails esthétiques tels que des écopes sur le capot et des extracteurs d'air chaud à l'arrière des passages de roues avant étaient autant de réminiscences des grandes Ferrari de competizione d'autrefois, en particulier de l'immortelle 250GTO, et on retrouvait à l'arrière les doubles feux circulaires typiques des Ferrari. Sur la 575M, la cylindrée du moteur avait été portée à 5 748 cm3 et la puissance à 515 chevaux, transmis à la route par une nouvelle boîte semi-automatique à six rapports et commande à palettes, technologie que Ferrari avait développée en Formule 1.

Ainsi désignée en hommage aux légendaires GT des années 1950-1960 à moteur V12 Lampredi, dessinées par Pininfarina, la Superamerica atteignait les 320 km/h ; elle reprenait le 5 748 cm3 de la 575M, sa boîte de vitesses mécanique à six rapports et commande par palettes ainsi que sa mécanique et sa conception générale, tout en proposant un original toit pivotant photochromique. Ce dernier était l'œuvre de Leonardo Fioravanti, le chef du style de Pininfarina, créateur de la légendaire 365 GTB/4 'Daytona' ; composé d'un cadre en fibre de carbone enserrant un verre électrochrome, c'était le premier toit de cette sorte jamais monté sur une voiture de série. On pouvait faire varier sa luminosité depuis l'habitacle, d'un maximum équivalent à celle d'un toit vitré conventionnel à un minimum ne laissant passer que 1% des rayons du soleil. Une pression sur un bouton permettait par ailleurs de transformer en seulement dix secondes la Superamerica en cabriolet, son pavillon pivotant vers l'arrière pour se placer dans l'alignement du couvercle de coffre.

Cette Superamerica bien équipée a été livrée neuve en Suisse par le Garage Zenith de Lausanne, et elle n'a connu que deux propriétaires. Le toit a été entièrement refait à neuf en 2019. Elle est proposée avec une copie de son contrat d'achat d'origine, une facture de 22 500 € délivrée par Modena Cars SA lors d'un entretien majeur effectué en décembre 2018, une autre facture, sa carte grise suisse, sa pochette Ferrari en cuir, ainsi que sa documentation de bord et son outillage au complet.
Du fait de sa rareté, de son style exceptionnellement novateur et de l'exaltante expérience de conduite que seuls les cabriolets V12 Ferrari modernes peuvent offrir, la Superamerica est devenue l'une des Ferrari récentes les plus chaudement désirées. Une occasion à ne pas manquer.