1963 Mercedes-Benz 300 SL Roadster with Factory Hardtop
Chassis no. 198042-10-003245

Created to spearhead Mercedes-Benz's return to competition in the post-war era, the 300 SL debuted in the 1952 Mille Miglia, finishing 2nd and 4th overall. Wins in the Carrera Pan-Americana and at Le Mans followed, and the 300 SL was on its way to becoming part of motor sporting legend. Max Hoffman, the Mercedes-Benz importer for North America, believed there would be a market for a road-going version and managed to convince the factory that such a car would be a success.

The first racers were open-topped but before the '52 season's end the distinctive 'Gullwing' doored Coupé had appeared. Launched in 1954, the production 300 SL retained the spaceframe chassis of the racer and was powered by a 2,996cc, overhead-camshaft, inline six canted at 45 degrees to achieve a lower, more aerodynamic bonnet line. Using direct fuel injection, this state-of-the-art power unit produced 215 horsepower, which was transmitted to the road via four-speed gearbox. Suspension was independent all round by wishbones and coil springs at the front, with swing axles and coil springs at the rear.

Tested by the respected American magazine Road & Track in 1955, the 300 SL accelerated from 0-60mph (0-96km/h) in 7.4 seconds, going on to achieve a top speed of 140mph (225km/h): outstanding figures for its day. It was, arguably, the world's first supercar.

Clearly the 300 SL Coupé would be a hard act to follow yet the Roadster version, introduced just three years later, succeeded in bettering its closed cousin's already exemplary road manners. Built with conventional doors, the 300 SL Roadster was introduced in May 1957 and was an immediate hit with the 1950s Jet Set of royalty, actors, and socialites. The production of an open 300 SL involved altering the cockpit area, where the spaceframe was redesigned to permit lower sills for improved access. At the same time the rear suspension was changed to incorporate low-pivot swing axles, a move that greatly improved both roadholding and handling. Disc brakes were standardised from March 1961, while towards the end of production a small batch of Roadsters was completed with an aluminium cylinder block.

The 300 SL Roadster sold well for a car that cost more than a Ferrari 250 GT California Spyder and would out-live the 300 SL Coupé by several years. Roadster production ceased in 1963 after 1,858 cars had been built, and today the model is both rare and highly sought after.
The 14th from last 300 SL Roadster completed, this car is one of 26 manufactured in January and February 1963 and one of the highly prized 200 examples built with disc brakes and an all-aluminium engine (copy of data sheet available). Delivered new to Germany, the car received its first service at Daimler Benz, Stuttgart on 23rd December 1963 at 570 kilometres, as can be seen in its original service booklet. On file, this service booklet was duly filled out and stamped until a distance of 69,800 kilometres had been covered.

The current vendor, owner of a collection of mainly Mercedes-Benz cars, purchased the 300 SL in 1982 at circa 79,000 kilometres from a Mr Siegfried Kuebe of Heidelberg, who appears to have been only its third owner. Some 12,000 kilometres have been covered during the vendor's ownership, making the distance travelled from new circa 91,500 kilometres. In spite of covering only a modest 300-or-so kilometres annually, the car has always received the necessary maintenance and servicing.

The 300 SL was restored cosmetically around 20 years ago when it received a bare-metal re-spray from blue in its more appropriate silver livery, while the red leather interior was re-trimmed. Never used for rallies, the car has nevertheless been exhibited at various concours d'élégance events where it has been a regular contender.

This beautiful 300 SL Roadster comes with German historic registration papers and fresh TüV valid until December 2021. Ultra rare and presented in very good condition, it would make an exhilarating yet extremely practical touring companion. Indeed, there cannot be many better ways of travelling to a classic event, taking part and driving home.

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Mercedes-Benz 300 SL roadster avec hardtop d'usine 1963
Châssis n° 198042-10-003245

•Livrée neuve en Allemagne
•Une des 200 construites avec freins à disque et moteur en aluminium
•Numéros concordants
•Aux mains du vendeur depuis 1982
•91 500 kilomètres d'origine certifiés
•Immatriculée en Allemagne, TüV valable jusqu'en 2021

Créée comme fer de lance de Mercedes-Benz pour son retour en compétition après la guerre, la 300 SL fit ses débuts aux Mille Miglia de 1952, terminant 2e et 4e au classement général. Des victoires à la Carrera Panamericana et au Mans suivirent et la 300 SL était en passe de devenir une légende du sport automobile. Max Hoffman, L'importateur Mercedes-Benz en Amérique du nord, pensait qu'il y avait un marché pour une version routière et s'arrangea pour convaincre l'usine qu'un tel modèle serait un succès.

Les premières voitures de compétition avaient une carrosserie ouverte, mais avant la fin de la saison 1952, le spectaculaire coupé avec ses portières en aile de mouette faisait son apparition. Lancé en 1954, la 300 SL de série reprenait le châssis tubulaire du modèle de course et était animée par le six cylindres en ligne de 2 996 cm3 à arbre à cames en tête, incliné à 45° afin d'obtenir une ligne de capot plus basse et plus aérodynamique. Ayant recours à l'injection, ce moteur dernier cri développait 215 ch, transmis à la route via une boîte à quatre rapports. La suspension indépendante aux quatre roues avait recours à des combinés amortisseurs/ressorts hélicoïdaux à l'avant et à un essieu oscillant et ressorts hélicoïdaux à l'arrière.

Essayée par le très respecté magazine américain Road & Track en 1955, la 300 SL accéléra de 0 à 60 mph (0 à 96 km/h) en 7,4 secondes, pour atteindre la vitesse maximale de 140 mph (225 km/h), des chiffres très époustouflants pour l'époque. C'était sans conteste la première supercar du monde.

Clairement, le coupé 300 SL était déjà difficile à suivre, pourtant la version Roadster présentée juste trois ans plus tard réussissait à améliorer les performances routières déjà exemplaires de sa sœur à carrosserie fermée. Dotée de portes conventionnelles, la 300 SL Roadster fut dévoilée en mai 1957 et connut un succès immédiat parmi la Jet Set des années 1950, têtes couronnées, acteurs et personnalités en vue. La production d'une 300 SL ouverte avait nécessité de modifier l'habitacle, autour duquel le châssis tubulaire fut redessiné afin d'abaisser les seuils de portes pour un meilleur accès à bord. En même temps, la suspension arrière fut changée, adoptant un essieu oscillant à pivot plus bas, ce qui améliorait grandement la tenue de route. Les freins à disque furent montés en série à partir de mars 1961, tandis que vers la fin de production un lot de Roadsters fut construit avec un bloc moteur en aluminium.

La 300 SL Roadster se vendit bien pour une voiture qui coûtait plus cher qu'une Ferrari 250 GT California Spyder et allait survivre plusieurs années au coupé 300 SL. La production du Roadster prit fin en 1963 après 1 858 voitures construites et aujourd'hui ce modèle est à la fois rare et très recherché.

Quatorzième des derniers 300 SL Roadster fabriqués, la voiture proposée ici est l'une des 26 construites en janvier et février 1963 et fait partie des 200 exemplaires très recherchés équipés de freins à disque et d'un bloc moteur tout aluminium (copie de la fiche de construction fournie). Livrée neuve en Allemagne, la voiture a subi sa première révision chez Daimler Benz, à Stuttgart le 23 décembre 1963 lorsqu'elle avait 570 kilomètres, comme on peut le constater dans son carnet d'entretien original. Au dossier, ce carnet a été dûment rempli et tamponné jusqu'à 69 800 kilomètres.

Le vendeur, propriétaire d'une collection essentiellement composée de Mercedes-Benz, a acheté la 300 SL en 1982 alors qu'elle affichait environ 79 000 kilomètres à M. Siegfried Kuebe d'Heidelberg, qui semble bien en avoir été le troisième propriétaire seulement. Environ 12 000 kilomètres ont été effectués en possession du vendeur, portant la distance parcourue depuis l'origine à environ 91 500 kilomètres. En dépit d'un kilométrage de seulement 300 modestes kilomètres par an, la voiture a toujours reçu l'entretien et les révisions nécessaires.

La 300 SL a subi une restauration cosmétique il y a environ 20 ans lorsqu'elle a reçu une peinture à métal nu, passant du bleu à une couleur argentée plus appropriée, tandis que l'intérieur de cuir rouge était refait. Jamais utilisée en rallyes, la voiture a néanmoins été exposée à divers concours d'élégance où elle a rencontré beaucoup de succès.

Ce magnifique roadster 300 SL est vendu avec ses papiers d'immatriculation historique en Allemagne et un récent TüV, valable jusqu'en décembre 2021. Extrêmement rare et dans un très bon état, il sera un compagnon exaltant tout en restant très pratique. De fait, il n'y a pas beaucoup de meilleur moyen de se rendre à une manifestation historique, d'y participer et de rentrer chez soi.

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