• Baujahr 
    1963
  • Kilometerstand 
    100 km / 63 mi
  • Automobiltyp 
    Cabriolet / Roadster
  • Rennwagen 
    Ja
  • FIA-Papiere 
    Ja
  • Lenkung 
    Lenkung links
  • Zustand 
    Restauriert
  • Innenfarbe 
    Grau
  • Anzahl der Türen 
    2
  • Zahl der Sitze 
    2
  • Standort
    Frankreich
  • Außenfarbe 
    Grau
  • Getriebe 
    Manuell
  • Antrieb 
    2wd
  • Kraftstoff 
    Petrol

Beschreibung

Contrairement à la Type D, la Type E n'a jamais été conçue comme une voiture de course mais cela n'a pas empêché l'usine de soutenir certains pilotes privés bien connus. Graham Hill pour Equipe Endeavour avec ECD400 et Roy Salvadori pour John Coombs avec BUY1 ont connu quelques succès en 1961 face aux dominantes Ferrari 250 GT, mais c'était clairement une compétition entre une voiture de route (la Type E) et une Ferrari de course construite pour gagner. Aucune Jaguar n'est apparue au Mans en 1961. Mais cette même année, la voiture de John Coombs était en fait une voiture de développement d'usine. Elle a été construite avec une monocoque en acier de plus faible épaisseur. Elle réapparaît au début de la saison 1962 immatriculée 4WPD, avec un moteur de Type D à carter humide, des freins et une suspension améliorés et un toit rigide en aluminium. Cette voiture, détruite lors des coupes de Pâques à Goodwood (pilotée par Salvadori), fut reconstruite par l'usine aux spécifications que l’on nommera dorénavant « Lightweight ». Par la suite, 11 autres roadsters Type E Lightweight ont été construits, plus deux autres coupés et une dizaine de semi-lightweight. A priori tous survivants aujourd'hui.
La véritable spécification Lightweight comprenait une monocoque entièrement en aluminium, un moteur à carter sec de 3,8 litres entièrement en alliage, une culasse Wide Angle de Type D, une injection mécanique Lucas, une boîte de vitesses ZF à 5 vitesses, des freins à disque de Mk IX, un toit rigide, des portes et un coffre ventilés en aluminium, une voie arrière élargie avec des triangulations de Mk X modifiées, une suspension avant à géométrie anti plongée, une crémaillère de direction plus basse, des sièges sport, des roues spéciales Dunlop en alliage similaires aux Type D. Cela a permis de réduire le poids de 270kg et avec plus de 340 ch, la Type E devenait une véritable adversaire face à la Ferrari 250 GTO. Mais suite à des problèmes de fiabilité, la plupart des moteurs et boîtes ZF en alliage ont rapidement été remplacés par des blocs Jaguar en fonte et des boîtes maison. Malgré cela, l'usine n'a jamais vraiment soutenu le programme de course, et en 1964, tout était terminé. La Lightweight est arrivée 2 ans trop tard, et n'a jamais été suffisamment développée.
La version Lightweight, dont seulement 12 exemplaires ont été produits, est souvent engagée dans des courses au Royaume-Uni où elle accumule au fil des ans un beau palmarès. Elle participe aussi au Tour de France automobile après le retrait des MK2, et obtient le titre australien GT en 1963 avec Bob Jane. La même année, Graham Hill remporte plusieurs épreuves nationales GT à son volant, et entre 1963 et 1964 Peter Lindner la fait encore participer, glanant quelques coupes supplémentaires. En décembre 1963, Hans Schenk gagne successivement le Trophée du Gouverneur et la Coupe des Bahamas. Entre 1964 et 1965, Peter Sutcliffe s'impose notamment au Prix de Paris GT, et Brian Redman aura même parfois l'occasion de la piloter. De nos jours, les Types E engagées en VHC en France et en course sur circuit au Royaume-Uni et en Europe sont devenues, avec des préparations poussées, bien plus performantes, glanant bien souvent les premières places.

Livré neuf en 1963, notre Roadster a été préparé dans les règles de l'art en Angleterre : ouvrants en aluminium, boite Jaguar, frein Mk IX et culasse Wide Angle en font l’outil parfait pour les courses telles que le Tour Auto, le Sixties, Le Mans Classic, les 6 Heures de Spa, le Modena Cento Ore et bien d'autres. Le moteur sort de révision et affiche quelques kilomètres de rodage, la boite est neuve, ainsi que le pont arrière qui a également été révisé. L'auto a bénéficié récemment d'une réfection carrosserie et d'une peinture neuve. Accompagnée de son PTH FIA valable jusqu’en 2025, il ne vous reste qu'à vous glisser derrière le volant.

Unlike the D Type, the E Type was never designed as racing car but that did not stop the factory backing certain well known privateers. Graham Hill for Equipe Endeavour in ECD400 and Roy Salvadori for John Coombs in BUY1 had some success during 1961 against the all conquering Ferrari 250 GT racers but it was clearly a contest between a road car (the E Type), and a purpose built race car as the Ferrari was 6cwt lighter. No Jaguar appeared at Le Mans in 1961. But during that same year, John Coombs’ car was effectively a works’ development car. It was rebuilt with a thinner gauge steel monocoque reappearing at the start of 1962 with a new registration 4WPD, a wet sump D Type engine, uprated brakes and suspension and an aluminium hardtop. This car was written off at the Goodwood Easter meeting, driven by Salvadori, and rebuilt by the factory to what would become the lightweight roadster specification. Subsequently 11 more Lightweight E Type Roadsters were built plus another two semi-lightweights, both fixed head coupes plus a dozen semi-lightweight. All apparently survive.
The true lightweight specification included a full aluminium monocoque, an all alloy 3.8 litre dry sump engine, a D Type wide angle cylinder head, Lucas mechanical fuel injection, a 5 speed ZF gearbox, Mk IX disc brakes, a bolted and vented aluminium roadster hardtop, and aluminium bonnet, doors and vented boot lid, a wider rear track using modified Mk X wishbones, altered front suspension with anti-dive geometry, a lowered steering rack, competition seats and special Dunlop slotted alloy wheels similar to those used on D types. This removed 600 lbs in weight and with well over 340 bhp, the lightweight E Type was more than a match for the Ferrari 250 GTO. But because of reliability problems many of the all alloy engines and ZF gearboxes were soon replaced with standard D Type cast iron engines and Jaguar gearboxes. However the factory never really backed the racing program and by 1964 it was all over. The lightweight was two years too late and was never sufficiently developed.

Delivered new in 1963, our Roadster has been prepared accordingly to the higher specifications in England, with all bonnet, doors and hood in aluminium, Jaguar gearbox, Mk IX brakes and Wide Angle cylinder head, making it the perfect tool for races such as the Tour Auto, the Sixties, Le Mans Classic, the Spa Six Hours, the Modena Cento Ore and many more. A highly competitive front running car with steel monocoque and alloy panels. The car recently benefited an engine refresh for the 2020 season and hasn't been driven since. The gearbox has been renewed, and the differential has been serviced. Current specification includes latest generation full FIA homologation competition iron engine with wide angle head, differential oil cooler, etc. An exceptional opportunity to acquire a historic racing Lightweight E Type with a proven track record that is eligible for many of the current historic racing series. With its FIA HTP valid until 2025, all you have to do is slip behind the wheel!