2014 McLaren P1 Coupé
Chassis no. SBM12ABB5EW000056

Nowadays, in these increasingly environmentally-conscious times, even supercar manufacturers are expected to make at least a cursory nod in the direction of better fuel economy and reduced emissions; hence the arrival of 'hybrid' technology in this previously exclusively fossil-fuels-only sector of the market. This has had the effect of endowing the modern supercar with some green credentials, while at the same time bringing with it a welcome performance boost in the shape of an additional (electric) motor.

McLaren's first offering in this expanding category was the P1, a limited-edition plug-in hybrid coupé that was first shown to the public in 2012 at the Paris Motor Show. Like its conventionally-powered 12C predecessor, the mid-engined P1 used a carbon-fibre combined body tub and roof structure - 'MonoCage' in factory parlance - while retaining the marque's signature dihedral doors that had been a featured of its first road-going supercar: the F1.

A development of the 12C's, the P1's hydro-pneumatic suspension achieved even greater control of the car's roll and ride height. Weight saving had been a major consideration in developing the P1, so there was little in the predominantly carbon fibre cabin that need not have been there. According to Autocar magazine, the seats "proved particularly comfortable for our testers, all of whom could find an excellent driving position. Customers can choose their preferred seat height at the factory, and the steering wheel (only ever fitted to the left of the cabin) is widely adjustable – manually, of course, like the seat runner, to reduce weight."

BMW and Mercedes-Benz respectively had supplied engines for the F1 and SLR, but for the 12C, McLaren decided to develop its own. The rights to an Indy Car V8 racing engine were acquired from Tom Walkinshaw Racing, and with assistance of Ricardo this was transformed into a 3.8-litre twin-turbocharged unit suitable for a road car. Manufactured by Ricardo at its Shoreham-by-Sea factory, it was a modified and strengthened development of this M838T engine that was used for the P1, delivering its maximum power output of 727bhp and 531lb/ft of torque via a seven-speed dual-clutch automatic gearbox. Add to that the 176bhp and 192lb/ft of the in-house-developed electric motor, and the P1 had no less than 903bhp and a whopping 723lb/ft of torque at its disposal. "Maintaining good driveability, given this level of specific output (and this engine... is remarkably docile), is one of McLaren's greatest achievements with this car," declared Autocar.

A high-density lithium-ion battery pack powered the electric motor, which could be left to deploy automatically or selected by the driver, who thus had the options of using the petrol engine on its own, the electric motor on its own, or the two in combination. The battery could be charged by the engine or from the mains, with full charge achieved in two hours.

As one would expect from a manufacturer that has been a mainstay of Formula 1 for the last 50 years, McLaren endowed the P1 with a number of competition-derived high technologies in the form of IPAS (Instant Power Assist System), DRS (Drag Reduction System), and KERS (Kinetic Energy Recovery System). Tested by Autocar, the P1 accelerated to 60mph in 2.8 seconds on its way to a top speed (electronically limited) of 217mph (350km/h), with the standing mile dismissed in 18.2 seconds. Power reached the ground via bespoke Pirelli P-Zero Corsa tyres, while the carbon-ceramic brakes were claimed to stop the P1 from 186mph (300km/h) in an eyeball-popping 6.6 seconds. And if you wanted anything quicker, only the Bugatti Veyron Super Sport (30 cars built) could deliver.

McLaren unveiled the production version of the P1 at the 2013 Geneva Motor Show, announcing that only 375 of these exclusive hypercars would be built. By the end of the year, the entire production run had sold out. The UK base price was £866,000, though as most customers chose to enhance their car's specification courtesy of McLaren Special Operations' extensive options catalogue, few would have been delivered for less than the equivalent of £1 million.

Chassis number '056' has covered a mere 973 kilometres since it left the factory and is presented in effectively 'as new' condition. Strikingly finished in yellow with yellow-piped black interior, the P1 comes complete with its McLaren car cover and battery charger and is offered with Equatorial Guinea registration papers and customs document.

VAT, Car Tax and Customs Duty at the standard rates will be payable on this Lot if the car remains in Switzerland.

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McLaren P1 Coupé 2014
Châssis n° SBM12ABB5EW000056

•Hypercar hybride essence/électricité
•L'une des 375 seules produites
•973 km depuis l'état neuf
•320km/h-plus performance

Dans le contexte actuel d'une prise de conscience croissante des enjeux environnementaux, on attend des constructeurs de supercars qu'ils fassent au moins un petit geste en faveur d'une réduction de la consommation et des émissions. C'est ce qui explique l'arrivée de l'hybridation dans une niche du marché jusqu'alors exclusivement alimentée par des carburants d'origine fossile. Les supercars modernes acquièrent ainsi une image plus verte et elles récupèrent au passage un agréable surcroît de performances, sous la forme d'un moteur (électrique) supplémentaire.

La première offre de McLaren dans cette catégorie en expansion a été la P1, un coupé hybride rechargeable produit en série limitée et dévoilé au public lors du Salon de Paris 2012. De même que sa devancière à moteur conventionnel la 12C, la P1 faisait appel à une structure combinant un soubassement et un pavillon en fibre de carbone – la "MonoCage", en langage usine – et elle reprenait les portes en dièdre qui étaient caractéristiques de la marque depuis la F1, sa première supercar de route.

La suspension hydropneumatique de la P1, dérivée de celle de la 12C, permettait de contrôler encore mieux le roulis et la hauteur de caisse. La recherche d'allègement avait guidé son développement, ce qui fait que son habitacle essentiellement en fibre de carbone ne contenait que peu d'éléments superflus. Selon le magazine Autocar, ses sièges "se sont révélés particulièrement confortables pour tous nos essayeurs, qui ont tous pu trouver une excellente position de conduite. Les clients peuvent choisir en usine leur hauteur d'assise, et le volant (monté uniquement à gauche) est réglable sur une large plage, manuellement bien sûr, de même que la position longitudinale du siège, pour réduire le poids."

C'étaient respectivement BMW et Mercedes qui fournissaient les moteurs des F1 et SLR, mais pour la 12C, McLaren avait décidé de développer son propre moteur. Après avoir acquis les droits d'utilisation d'un V8 Indy Car de course auprès de Tom Walkinshaw Racing, ils ont sollicité Ricardo pour le transformer en un 3,8 litres double turbo utilisable sur route. C'est une version modifiée et renforcée de ce moteur M838T construit par Ricardo dans ses ateliers de Shoreham-by-Sea qui a été retenue pour la P1. Elle délivre une puissance de 727 chevaux et un couple de 720 Nm, et est associée à une boîte automatique à double embrayage et sept rapports.

Ajoutez à ces chiffres les 176 chevaux et les 260 Nm du moteur électrique de conception maison et vous obtenez pour la P1 pas moins de 903 chevaux et 980 Nm de couple. "Être parvenu à conserver un bon agrément de conduite à ce niveau de puissance spécifique (et ce moteur ... est remarquablement docile) est l'une des plus grandes réussites de McLaren sur cette voiture," écrivait Autocar.

Le moteur électrique est alimenté par une batterie lithium-ion de haute densité ; sa sollicitation peut être décidée de façon automatique ou à l'initiative du conducteur, qui peut choisir entre n'utiliser que le moteur à essence, que le moteur électrique ou une combinaison des deux. La batterie est rechargée par le moteur ou à partir d'une prise de courant, qui permet une charge complète en deux heures.

Comme on pouvait s'y attendre de la part d'un constructeur qui est depuis 50 ans un pilier de la Formule 1, McLaren a doté sa P1 de nombre de fonctions issues de la compétition, telles que l'IPAS (système d'appoint de puissance instantané), le DRS (système de réduction de la traînée aérodynamique) et le KERS (système de récupération d'énergie cinétique). Lors des essais d'Autocar, la P1 a accéléré de 0 à 100 km/h en 2,8 secondes, a expédié le kilomètre départ arrêté en 18,2 secondes et a atteint une vitesse (limitée électroniquement) de 350 km/h. Elle est équipée de pneus spéciaux Pirelli P-Zero Corsa et ses freins en carbone-céramique seraient capables de l'arrêter à partir de 300 km/h en seulement 6,6 secondes, un temps exorbitant, au sens premier du terme. Si vous voulez quelque chose de plus rapide, il n'y a que la Bugatti Veyron Super Sport (produite à 30 exemplaires) qui puisse vous satisfaire.

Lors de la présentation de la version série de la P1 au Salon de Genève 2013, McLaren a annoncé que seules 375 de ces hypercars exclusives seraient produites. A la fin de l'année, la totalité de la série avait été vendue. Son prix de départ au Royaume-Uni était de 866 000 £, mais comme beaucoup de ses clients ont voulu doter leur voiture des nombreuses options proposées par le catalogue de McLaren Special Operations, il n'y en a eu que peu de livrées à moins d'un million de livres.

Cette P1 châssis 056 n'a parcouru que 973 km depuis sa sortie d'usine, et elle est donnée pour être comme neuve. Elle est d'un jaune éclatant avec un intérieur noir à passepoils jaunes. Elle est complète, avec sa housse de protection McLaren et son chargeur de batterie. Elle est munie de son certificat d'immatriculation de Guinée équatoriale ainsi que de ses documents douaniers.

La TVA, la taxe sur les véhicules ainsi que les droits de douanes aux taux courants seront payables sur ce lot si le véhicule reste en Suisse.

Bonhams restant le garant des droits et taxes douanières, cette voiture ne pourra pas être récupérée par l'acheteur ou son transporteur immédiatement après la vente.

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