1964 Maserati Sebring
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Baujahr1964
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Chassisnummer101.01975
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Losnummer39
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LenkungLenkung links
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ZustandGebraucht
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Zahl der Sitze2
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Standort
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AußenfarbeSonstige
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Antrieb2wd
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KraftstoffPetrol
Beschreibung
1964 Maserati Sebring Series I Coupé
Coachwork by Carrozzeria Vignale
Chassis no. 101.01975
Introduced in 1962, the Sebring was one of the final manifestations of the landmark 3500GT, which had been the linchpin of Maserati's programme to establish itself as a manufacturer of road cars. Despite numerous racetrack successes that included Juan Manuel Fangio's fifth World Championship, at the wheel of a 250F, and runner-up spot in the World Sports Car Championship with the fabulous 450S - both in 1957, the marque's most successful season - Maserati was by that time facing a bleak future. Its parent company's financial difficulties forced a withdrawal from racing, and Maserati's survival strategy for the 1960s centred on switching production from competition to road models.
The Modena marque's new era began in 1957 with the launch of the Touring-bodied 3500GT, its first road car built in significant numbers. A luxury 2+2, the 3500GT drew heavily on Maserati's competition experience, employing a tubular chassis frame and an engine derived from the 350S sports car unit of 1956. Suspension was independent at the front by wishbones and coil springs, while at the back there was a conventional live axle/semi-elliptic arrangement. The 3500GT's designer was none other than Giulio Alfieri, creator of the immortal Tipo 60/61 'Birdcage' sports-racer and the man responsible for developing the 250F into a World Championship winner. The twin-overhead-camshaft, six-cylinder engine was a close relative of that used in the 250F and developed around 220bhp initially, later examples producing 235bhp on Lucas mechanical fuel injection.
Built on the short-wheelbase chassis of the spyder and likewise styled by Carrozzeria Vignale, the Sebring 2+2 coupé arrived in 1962. By now a five-speed gearbox, four-wheel disc brakes, and fuel injection were standard equipment, with automatic transmission, air conditioning, and a limited-slip differential available as options. Introduced in 1965, the Sebring Series II came with a 3.7-litre engine while some cars left the factory with 4.0-litre units towards the end of production in 1966, by which time 591 Sebrings had been built, around 400 of which were in the first series.
Delivered new to the USA, where it was restored, this particular Sebring was purchased by the current vendor in France in 2014, at which the odometer reading was 54,600 miles (approximately 87,800 kilometres). The car has not been used since then and, being an older restoration, will require re-commissioning before returning to the road. Finished in red with a beautifully patinated blue leather interior, the car is offered with a cancelled French Carte Grise and paperwork relating to its sale/purchase in 2014.
Maserati Sebring Série I Coupé 1964
Carrossé par la Carrozzeria Vignale
Châssis n° 101.01975
Séduisant exemplaire de la première série
Restauration ancienne
Nécessite une remise en route
Eligible pour les événements reservés aux autos d'avant 1965
La Sebring, lancée en 1962, était l'une des dernières versions de l'emblématique 3500 GT, qui avait été pour Maserati le modèle-clé lui ayant permis de s'imposer comme constructeur de routières. En dépit de nombreux succès sur les circuits, dont pour Juan Manuel Fangio son cinquième titre de champion du monde au volant de la 250F et une place de deuxième au Championnat du monde des voitures de sport sur la fabuleuse 450S, tous deux obtenus en 1957, la plus brillante saison de la marque, Maserati était alors dans une mauvaise passe. Les difficultés financières de sa maison mère l'avaient obligée à se retirer de la compétition, et sa stratégie de survie pour les années 1960 consistait à passer de la compétition à la production de routières.
Cette nouvelle ère pour la marque de Modène s'ouvrit en 1957, avec le lancement de la 3500GT carrossée par Touring, son premier modèle de routière construit à un nombre significatif d'exemplaires. C'était une luxueuse 2+2 qui s'appuyait généreusement sur l'expérience acquise par Maserati en compétition ; elle disposait d'un châssis tubulaire et d'un moteur dérivé de celui des 350S de sport de 1956. Sa suspension avant à roues indépendantes faisait appel à des triangles et à des ressorts hélicoïdaux, tandis que l'arrière, plus classique, recourait à un essieu rigide avec ressorts semi-elliptiques. Son concepteur n'était autre que Giulio Alfieri, qui avait créé l'immortelle Tipo 60/61 Birdcage de course et avait développé la 250F ayant triomphé en Championnat du monde. Son six-cylindres à double arbre à cames en tête était un proche dérivé de celui de la 250F ; il développait à ses débuts environ 220 chevaux, et par la suite 235 chevaux, avec une injection mécanique Lucas.
Le coupé Sebring 2+2 sort en 1962 ; il est basé sur le châssis raccourci du spyder et est lui aussi dessiné par la Carrozzeria Vignale. Il est alors doté en série d'une boîte à cinq rapports, de quatre freins à disque et de l'injection d'essence, et, en option, d'une boîte automatique, de l'air conditionné et d'un différentiel à glissement limité. Lancée en 1965, la Sebring Série II est proposée en 3,7 litres ; vers la fin de série, en 1966, quelques voitures sortent d'usine en 4,0 litres. Il y aura eu 591 Sebring produites, dont environ 400 en Série I.
La Sebring proposée a été livrée neuve aux Etats-Unis, où elle a été restaurée. Son vendeur actuel l'a achetée en France en 2014, avec environ 87 800 km au compteur. Elle n'a pas été utilisée depuis et, du fait de sa restauration déjà ancienne, elle devra faire l'objet d'une remise en route avant de pouvoir rouler. Elle est de couleur rouge, avec un intérieur en cuir bleu magnifiquement patiné. Elle est proposée avec sa carte grise française annulée et les documents relatifs à son acquisition de 2014.