1959 Jaguar XK 150 Chassis no. S824796DN Engine no. V6619-8
1959 Jaguar XK 150
Chassis no. S824796DN

"The new Jaguar is immensely fast, one need hardly remark, bit it is more roomy and practical as an everyday vehicle than its predecessors, with improved all-round visibility and a distinctly Continental line. On the mechanical side, the engine has better low and medium speed torque, which increases the already excellent top gear flexibility, but most important of all is the adoption of disc brakes, which really permit the full performance to be exploited." – Autosport, 24th May 1957.

What would turn out to be the final glorious incarnation of Jaguar's fabulous 'XK' series of sports cars arrived in 1957. As its nomenclature suggests, the XK150 was a progressive development of the XK120 and XK140, retaining the same basic chassis, 3.4-litre engine and four-speed Moss transmission of its predecessors while benefiting from a new, wider body that provided increased interior space and improved visibility courtesy of a single-piece wrap-around windscreen, replacing the XK140's divided screen. Cleverly, the new body used many XK120/140 pressings, the increased width being achieved by means of a 4"-wide central fillet. A higher front wing line and broader radiator grille were other obvious differences, but the new model's main talking point was its Dunlop disc brakes. Fade following repeated stops from high speed had been a problem of the earlier, drum-braked cars, but now the XK had stopping power to match its prodigious straight-line speed.

Introduced in the spring of 1957, the XK150 was available at first only in fixed and drophead coupé forms, the open roadster version not appearing until the following year. At 190bhp, the engine's maximum power output was identical to that of the XK140, so performance was little changed. 'Special Equipment' and 'S' versions came with 210 and 250bhp respectively, the latter delivering an astonishing 0-60mph time of 7.3 seconds and a top speed of 136mph (218km/h). This was achieved by the introduction of the Weslake-developed 'straight-port' cylinder head, high-compression pistons, triple 2" SU carburettors, and twin electric fuel pumps. Overdrive and a Borg-Warner automatic gearbox were the transmission options, the latter becoming an increasingly popular choice, while a Thornton Powr-Lok limited-slip differential was available for the XK150S. Steel wheels remained the standard fitting, though XK150s so equipped are a great rarity as most were sold in SE (Special Equipment) specification with centre-lock wire wheels. The much-admired chromed Jaguar mascot was made available as an optional extra on an XK for the first time.

Testing an XK150 in February 1958, Autocar concluded its review thus: "The Jaguar XK150 is undeniably one of the world's fastest and safest cars. It is quiet and exceptionally refined mechanically, docile and comfortable. As with most cars, there are a few body details which could be improved, but we do not know of any more outstanding example of value for money."

Its accompanying Jaguar Heritage Certificate reveals that this matching-numbers XK150 was manufactured in February 1959 and delivered new via A Freeman of Manchester, UK to its first owner, Wholesale Oil Ltd. One of 1,368 right-hand drive fixed-head coupés built, it was equipped with the desirable overdrive gearbox and finished in British Racing Green with suede green interior. Bought by the vendor in Switzerland in December 2015 (sales receipt on file), the car is described by him as in good overall condition. Additional documentation consists of a Swiss Carte Grise and details of the car's previous registration history in the UK. The car also comes with another set of wheels and a copy of the book 'Jaguar XK150 Explored' by Bernard Viart.

Jaguar XK150 3.4-Litre coupé 1959
Châssis n° 824796DN

•Un des 1 368 coupés à conduite à droite
•Châssis et moteur à numéros concordants
•Originale combinaison de couleurs
•Livrée neuve au Royaume-Uni
•Aux mains de l'actuel propriétaire depuis 2015

« La nouvelle Jaguar est extrêmement rapide et, on le remarque à peine, mais elle est plus spacieuse et plus pratique comme voiture de tous les jours que ses devancières, avec une visibilité améliorée et une ligne délibérément moderne. Côté mécanique, le moteur offre un meilleur couple à bas et moyen régime, ce qui améliore encore la souplesse déjà excellente, mais surtout, le plus important, est l'adoption de freins à disques qui permettent d'exploiter tout son potentiel. » – Autosport, 24 mai 1957.

Celle qui allait devenir la dernière incarnation la plus raffinée de la fabuleuse lignée des sportives XK de Jaguar fit son apparition au printemps 1957. Comme le suggère son nom, la XK 150 était une évolution des XK120 et XK140, construites sur le même châssis, avec le moteur 3,4 litres et la boîte Moss de celles-ci, tout en bénéficiant d'une nouvelle carrosserie plus large qui offrait une plus grande habitabilité et une meilleure visibilité, grâce à un pare-brise bombé d'un seul tenant à la place de celui en deux parties de la XK140. De façon judicieuse, la nouvelle carrosserie faisait appel à de nombreux éléments emboutis des XK120 et 140, l'augmentation de la largeur étant obtenue par une bande de tôle centrale de 10 cm de large. Une ligne d'ailes avant plus haute et une calandre plus large faisaient partie des modifications les plus visibles, mais la nouveauté la plus remarquable était les freins à disque Dunlop. Le freinage répété à grande vitesse qui diminuait en efficacité était un problème sur les précédents modèles, équipés de freins à tambours, mais désormais la XK avait des freins à la hauteur de sa phénoménale vitesse en ligne droite.

Présentée au printemps 1957, la XK150 n'était au départ proposée qu'en versions coupé et cabriolet, le roadster n'apparaissant que l'année suivante. Avec 190 ch, la puissance maximale du moteur était identique à celle de la XK 140, les performances ne changeant pratiquement pas. Les versions « Special Equipment » et « S » offraient respectivement 210 et 250 ch, cette dernière autorisant un temps surprenant au 0 à 100 km/h de 7, 3 secondes et une vitesse maximale de 218 km/h. Tout cela grâce à l'adoption de la culasse « straight-port », mise au point par Weslake, de pistons haute compression, de trois carburateurs SU de 2 pouces et de deux pompes à essence électriques. L'overdrive et la boîte automatique Borg-Warner étaient proposées en option, cette dernière devenant le choix privilégié, tandis que le différentiel à glissement limité Thornton Powr-Lok était disponible sur la version « S » de la XK 150. Les roues acier restaient l'équipement de série, bien que les XK150 qui en sont équipées soient d'une grande rareté, la plupart ayant été achetées en spécification SE (Special Equipment) avec des roues à serrage central. Pour la première fois, la fameuse mascotte Jaguar était proposée en option sur les XK.

En février 1958, Autocar concluait son essai d'une XK150 ainsi : « La XK150 est indéniablement l'une des voitures les plus rapides et les plus sûres du monde. Elle est silencieuse et dotée d'une mécanique extrêmement raffinée, docile et confortable. Comme sur la plupart des voitures, quelques détails de la carrosserie pourraient être améliorés, mais à notre connaissance aucun autre modèle n'offre autant pour ce prix. »

Le certificat du Jaguar Heritage qui l'accompagne précise que cette XK150 à numéros concordants a été construite en février 1959 et livrée neuve par A. Freeman de Manchester, au Royaume-Uni, à son premier propriétaire, Wholesale Oil Ltd. Faisant partie des 1 368 coupés à conduite à droite, elle est équipée de la très recherchée boîte avec overdrive et arbore une livrée British Racing Green avec intérieur en daim vert. Achetée en Suisse par le vendeur en décembre 2015 (facture de vente au dossier), la voiture est décrite par ce dernier comme en bon état général. Les autres documents fournis sont la carte grise suisse et l'historique des précédentes immatriculations au Royaume-Uni. La voiture est également vendue avec un jeu de roues et un exemplaire du livre « Jaguar XK150 Explored » de Bernard Viart.